19-20/07/2016
Je t’écris ce matin du 20 juillet parce que j’ai pris mon quart pour faire la vigie entre 5 et 7 heures, pour surveiller la venue éventuelle d’un ours sur le camp. Il fait jour comme toujours et pas trop froid, mais je suis tout de même emmitouflé dans ma doudoune à écouter le bruit du torrent en contrebas, des quelques oiseaux du coin, des blocs de pierres qui dévalent les versants alentours et des ronflements de quelques-uns de mes compagnons d’aventure.